Née aux Etats-Unis au début du XXème siècle, la batterie est un instrument de musique issu du rassemblement de plusieurs instruments de percussions individuels (grosse caisse, caisse claire, cymbales, woodblocks), présents dans les orchestres ou fanfares de l'époque.
La naissance de la batterie est intimement liée à l'émergence du Jazz, ainsi qu'à la multiplication des lieux de danse et de divertissement (bars, cirques, fêtes foraines, steamboats, salles de danse, théâtres...) et l'explosion de la demande de musiciens qui ont accompagné ce mouvement (en réunissant leurs principales percussions, auparavant séparées, en un seul instrument, manipulé par un unique musicien, les orchestres de danse pouvaient faire l'économie de plusieurs percussionnistes !)
L'invention du pied de caisse claire et de la pédale de grosse caisse actionnée par la pointe du pied, ont favorisé l'éclosion de la « batterie jazz », constituée à l'origine d'une caisse claire, d'une énorme grosse caisse supportant divers accessoires, dont une cloche, des woodblocks et parfois une cymbale, et d'un tom pré-accordé rudimentaire.
Le Jazz de l'époque étant une musique de danse, la batterie a été cantonnée à ses débuts au rôle de gardienne du tempo, en marquant tous les temps à la grosse caisse. Aujourd'hui, son rôle a évolué et nous la retrouvons dans de nombreux styles musicaux : rock, rhythm'n' blues, reggae...
Son développement a accompagné l'évolution de la musique Jazz au début du XXème siècle : utilisation de balais pour atténuer le volume sonore dans les lieux fermés, apport de toms accordables, adaptation de cymbales inspirées de l'orchestre classique, mise au point d'une pédale Charleston offrant de nouveaux appuis rythmiques...
La batterie n'est pas présente dans le spectacle Big Boat, mais l'un des musiciens utilise la pédale de grosse caisse et la pédale charleston, pièces essentielles du développement de cet instrument. Le musicien utilise la pédale de grosse caisse pour frapper sur la caisse de son banjo selon le principe du « one man band », apparu dans les années 1930.
Née aux Etats-Unis au début du XXème siècle, la batterie est un instrument de musique issu du rassemblement de plusieurs instruments de percussions individuels (grosse caisse, caisse claire, cymbales, woodblocks), présents dans les orchestres ou fanfares de l'époque.
La naissance de la batterie est intimement liée à l'émergence du Jazz, ainsi qu'à la multiplication des lieux de danse et de divertissement (bars, cirques, fêtes foraines, steamboats, salles de danse, théâtres...) et l'explosion de la demande de musiciens qui ont accompagné ce mouvement (en réunissant leurs principales percussions, auparavant séparées, en un seul instrument, manipulé par un unique musicien, les orchestres de danse pouvaient faire l'économie de plusieurs percussionnistes !)
L'invention du pied de caisse claire et de la pédale de grosse caisse actionnée par la pointe du pied, ont favorisé l'éclosion de la « batterie jazz », constituée à l'origine d'une caisse claire, d'une énorme grosse caisse supportant divers accessoires, dont une cloche, des woodblocks et parfois une cymbale, et d'un tom pré-accordé rudimentaire.
Le Jazz de l'époque étant une musique de danse, la batterie a été cantonnée à ses débuts au rôle de gardienne du tempo, en marquant tous les temps à la grosse caisse. Aujourd'hui, son rôle a évolué et nous la retrouvons dans de nombreux styles musicaux : rock, rhythm'n' blues, reggae...
Son développement a accompagné l'évolution de la musique Jazz au début du XXème siècle : utilisation de balais pour atténuer le volume sonore dans les lieux fermés, apport de toms accordables, adaptation de cymbales inspirées de l'orchestre classique, mise au point d'une pédale Charleston offrant de nouveaux appuis rythmiques...
La batterie n'est pas présente dans le spectacle Big Boat, mais l'un des musiciens utilise la pédale de grosse caisse et la pédale charleston, pièces essentielles du développement de cet instrument. Le musicien utilise la pédale de grosse caisse pour frapper sur la caisse de son banjo selon le principe du « one man band », apparu dans les années 1930.
Née aux Etats-Unis au début du XXème siècle, la batterie est un instrument de musique issu du rassemblement de plusieurs instruments de percussions individuels (grosse caisse, caisse claire, cymbales, woodblocks), présents dans les orchestres ou fanfares de l'époque.
La naissance de la batterie est intimement liée à l'émergence du Jazz, ainsi qu'à la multiplication des lieux de danse et de divertissement (bars, cirques, fêtes foraines, steamboats, salles de danse, théâtres...) et l'explosion de la demande de musiciens qui ont accompagné ce mouvement (en réunissant leurs principales percussions, auparavant séparées, en un seul instrument, manipulé par un unique musicien, les orchestres de danse pouvaient faire l'économie de plusieurs percussionnistes !)
L'invention du pied de caisse claire et de la pédale de grosse caisse actionnée par la pointe du pied, ont favorisé l'éclosion de la « batterie jazz », constituée à l'origine d'une caisse claire, d'une énorme grosse caisse supportant divers accessoires, dont une cloche, des woodblocks et parfois une cymbale, et d'un tom pré-accordé rudimentaire.
Le Jazz de l'époque étant une musique de danse, la batterie a été cantonnée à ses débuts au rôle de gardienne du tempo, en marquant tous les temps à la grosse caisse. Aujourd'hui, son rôle a évolué et nous la retrouvons dans de nombreux styles musicaux : rock, rhythm'n' blues, reggae...
Son développement a accompagné l'évolution de la musique Jazz au début du XXème siècle : utilisation de balais pour atténuer le volume sonore dans les lieux fermés, apport de toms accordables, adaptation de cymbales inspirées de l'orchestre classique, mise au point d'une pédale Charleston offrant de nouveaux appuis rythmiques...
La batterie n'est pas présente dans le spectacle Big Boat, mais l'un des musiciens utilise la pédale de grosse caisse et la pédale charleston, pièces essentielles du développement de cet instrument. Le musicien utilise la pédale de grosse caisse pour frapper sur la caisse de son banjo selon le principe du « one man band », apparu dans les années 1930.